Journaliste, né à Rio de Janeiro, probablement la plus belle (et dangereuse) ville du Brésil, j'ai découvert en 2010 qui la est capable de nous réserver de grandes surprises. À côté de ma famille, j'ai débarqué à Montréal pleine de rêves et d'espoirs et sans parler un mot de français. Une renaissance à l'âge de 35 ans entraîné par un grand désir d'avoir la célèbre"qualité de vie". Presque six ans plus tard, je continue ma bataille. Après avoir fait la francisation du gouvernement et le certificat en français langue seconde à l'Université de Montréal, je termine mon DEC en éducation spécialisée au collège LaSalle en avril. La langue française n'est pas encore une alliée, mais est loin d'être l'ennemi d'avant. Montréal n'est plus une ville étrange où les gens ne parlent pas ma langue et ont les cheveux colorés et les quartiers sont tous pareils. La neige est devenue une amie, le froid est aussi bienvenu que la chaleur. Vivre à Montréal m'a appris beaucoup de choses, mais le principal est qu'on peut encore vivre en sécurité sur cette planète.
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L'être humain subit des changements dans le cours de sa vie. Lorsque d'une immigration, ces changements sont encore plus importants, car ils sont aussi le résultat de cette adaptation à nouveau monde. Mais le processus d'immigration a aussi une autre caractéristique: on s'attache encore plus aux choses qu'on aimait avant.
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On donne encore plus d'importance à nos préférences, à nos goûts...Mon côté de journaliste, même après une nouvelle formation, demeure une partie importante de ma vie. Le désir d'avoir l'accès à l'information de qualité, la pensée critique, l'ouverture à débattre ... Ce travail est le résultat de ce que je suis. Il est le résultat de deux passions:
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la politique et la communication de masse. Dans les pages de ce site, vous pouvez comprendre un peu ce qui se passe dans ma tête quand je parle de l'importance des moyens sociaux, un outil qui ne doit pas être négligé dans les campagnes électorales.
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