Le respect et l'engagement, deux élements importants pour les partis
Ma recherche pour ce travail m'amène à penser que compte sur les médias sociaux, site du candidat (et du parti politique) bien conçus et des images belles et bonnes sur Instagram ne élisent personne. Mais aide à élire! En fait, il faut tenir compte qu'une action planifiée sur les médias sociaux et étroitement liée aux autres fronts de la campagne est le premier pas pour arriver à la victoires. En d'autres termes, il faut avoir un contenu solide et le diffuser, stratégiquement, dans divers domaines, y compris les médias sociaux.
Le marketing politique sur Internet requiert la participation active du candidat et de son équipe. Créer un profil sur les médias sociaux ne signifie pas avoir une participation efficace sur ce réseau, parce que cela se fait à travers l'interaction et l'engagement. C'est ainsi, avec un réel effort de la part du candidat et de son équipe, qui la campagne sera en mesure de cultiver les électeurs. Et ces électeurs deviendront, donc, partie active de la campagne, parce qu'ils vont partager des idées, des messages, des photos, atteignant de plus en plus de gens et aidant à populariser et à consolider les propositions du candidat. |
Deux qualités importantes |
Les médias sociaux ont deux importantes qualités en matière de communication de masse: diffuser des informations rapidement et agréger du contenu. C'est pour cela qu'une campagne électoral doit considérer fortement de les utiliser. Bien sur, elles ne remplacera pas le contact humain, mais elles vont bien tôt complémenter le travail fait. L'utilisation active des médias sociaux vont aussi favoriser le contact avec les journalistes, qui vont eux-mêmes aider à diffuser les informations et le discurs d'un candidat.
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Attention
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Cepedant, il y a une observation importante à faire. Les gros problèmes quand l'on utilise les médias sociaux au cours d'une campagne électorale est de savoir exactement ce qui doit être publié et quand. En théorie, l'augmentation du nombre de publications devrait entraîner une croissance de la répercussion directe dans le message. Mais cela ne marche pas de cette façon. C'est la qualité de l'information, plus tôt que la quantité, qui va captiver l'électeur. Les partis politiques ont raison d'adopter les médias sociaux comme un outil important dans les campagnes électorales. Le danger réside précisément dans la façon dont administrer ce phénomène, de sorte que la crédibilité puisse toujours être à la hausse, et le lecteur de plus en plus satisfaits de son choix.
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