Trudeau gagne en ligne et en réalité
Les élections canadiennes ont brassé le pays ces derniers mois. Dans les rues, dans les cafés, dans les maisons, la bataille entre les candidats pour le poste de Premier ministre a fait jasé partout. L'impact a été énorme aussi dans les médias sociaux, parce que les partis politiques utilisent de plus en plus de ce type de communication de masse, une tendance mondiale dans une croissance vorace. Pour 11 semaines, la distance entre les politiciens et les électeurs a également été réduite en raison de l'Internet. Les candidats ont présenté leurs propositions. Et les électeurs ont eu la chance d'être entendus. Selon un article publié dans le site Web de Radio-Canada, le 20 Octobre, quelques jours après la victoire de Justin Trudeau, le vainqueur libérale a facilement dépassé ses adversaires, Steven Harper, du Parti conservateur, et Thomas Mulcair, de NPD, pour le nombre de mentions sur Twitter. Trudeau avait 36%, contre 28% de Mulcair et 25% de Harper.
Selon le site Infopresse, Justin Trudeau a aussi des chiffres plus favorables dans l'ensemble des trois principaux médias sociaux (Facebook, Twitter et Instagram) pendant les campagnes. Un article publié le 16 Octobre a montré que l'actuel premier ministre du Canada avait 1,183,900 abonnés, comparativement à 1,165 millions de Steven Harper. Thomas Mulcair, avec 300.000, était en troisième, suivi de Gilles Duceppe, du Bloc québécois, avec 100.000 abonnés.
Une rapide analyse des publicités des partis pour cette élection nous fait comprendre que la victoire de Trudeau a beaucoup à voir avec la vision du parti et avec l'importance que les libéraux donnent aux medias sociaux, à l'internet et à la technologie de façon général. Certainement, l'élection 2015 sera aussi marquée par la stratégie libérale de l'utilisation de la technologie pour atteindre les électeurs. Pour la première fois dans l'histoire du Canada, un parti a utilisé des pancartes interactifs. Les électeurs utilisait une application sur les téléphones intelligents pour accéder aux nouveaux éléments de la plate-forme libérale. Le contenu était mis à Les élections canadiennes ont brassé le pays ces derniers mois.
Dans les rues, dans les cafés, dans les maisons, la bataille entre les candidats pour le poste de Premier ministre a fait jasé partout. L'impact a été énorme aussi dans les médias sociaux, parce que les partis politiques utilisent de plus en plus de ce type de communication de masse, une tendance mondiale dans une croissance vorace. Pour 11 semaines, la distance entre les politiciens et les électeurs a également été réduite en raison de l'Internet. Les candidats ont présenté leurs propositions. Et les électeurs ont eu la chance d'être entendus. Selon un article publié dans le site Web de Radio-Canada, le 20 Octobre, quelques jours après la victoire de Justin Trudeau, le vainqueur libérale a facilement dépassé ses adversaires, Steven Harper, du Parti conservateur, et Thomas Mulcair, de NPD, pour le nombre de mentions sur Twitter. Trudeau avait 36%, contre 28% de Mulcair et 25% de Harper.
Selon le site Infopresse, Justin Trudeau a aussi des chiffres plus favorables dans l'ensemble des trois principaux médias sociaux (Facebook, Twitter et Instagram) pendant les campagnes. Un article publié le 16 Octobre a montré que l'actuel premier ministre du Canada avait 1,183,900 abonnés, comparativement à 1,165 millions de Steven Harper. Thomas Mulcair, avec 300.000, était en troisième, suivi de Gilles Duceppe, du Bloc québécois, avec 100.000 abonnés.
Selon le site Infopresse, Justin Trudeau a aussi des chiffres plus favorables dans l'ensemble des trois principaux médias sociaux (Facebook, Twitter et Instagram) pendant les campagnes. Un article publié le 16 Octobre a montré que l'actuel premier ministre du Canada avait 1,183,900 abonnés, comparativement à 1,165 millions de Steven Harper. Thomas Mulcair, avec 300.000, était en troisième, suivi de Gilles Duceppe, du Bloc québécois, avec 100.000 abonnés.
Une rapide analyse des publicités des partis pour cette élection nous fait comprendre que la victoire de Trudeau a beaucoup à voir avec la vision du parti et avec l'importance que les libéraux donnent aux medias sociaux, à l'internet et à la technologie de façon général. Certainement, l'élection 2015 sera aussi marquée par la stratégie libérale de l'utilisation de la technologie pour atteindre les électeurs. Pour la première fois dans l'histoire du Canada, un parti a utilisé des pancartes interactifs. Les électeurs utilisait une application sur les téléphones intelligents pour accéder aux nouveaux éléments de la plate-forme libérale. Le contenu était mis à Les élections canadiennes ont brassé le pays ces derniers mois.
Dans les rues, dans les cafés, dans les maisons, la bataille entre les candidats pour le poste de Premier ministre a fait jasé partout. L'impact a été énorme aussi dans les médias sociaux, parce que les partis politiques utilisent de plus en plus de ce type de communication de masse, une tendance mondiale dans une croissance vorace. Pour 11 semaines, la distance entre les politiciens et les électeurs a également été réduite en raison de l'Internet. Les candidats ont présenté leurs propositions. Et les électeurs ont eu la chance d'être entendus. Selon un article publié dans le site Web de Radio-Canada, le 20 Octobre, quelques jours après la victoire de Justin Trudeau, le vainqueur libérale a facilement dépassé ses adversaires, Steven Harper, du Parti conservateur, et Thomas Mulcair, de NPD, pour le nombre de mentions sur Twitter. Trudeau avait 36%, contre 28% de Mulcair et 25% de Harper.
Selon le site Infopresse, Justin Trudeau a aussi des chiffres plus favorables dans l'ensemble des trois principaux médias sociaux (Facebook, Twitter et Instagram) pendant les campagnes. Un article publié le 16 Octobre a montré que l'actuel premier ministre du Canada avait 1,183,900 abonnés, comparativement à 1,165 millions de Steven Harper. Thomas Mulcair, avec 300.000, était en troisième, suivi de Gilles Duceppe, du Bloc québécois, avec 100.000 abonnés.
Le Parti Conservateur
Stephen Harper perd les élections, après neuf ans de pouvoir
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Le NPD
Thomas Mulcair et son parti ne sont plus l'opposition officielle à Ottawa
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Le Bloc Québecois
Gilles Duceppe aide le parti a se récupérer, malgré sa défaite personnelle
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Le Parti Vert
Le parti commandé par Elizabeth May a seulement une place à Ottawa
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Une rapide analyse des publicités des partis pour cette élection nous fait comprendre que la victoire de Trudeau a beaucoup à voir avec la vision du parti et avec l'importance que les libéraux donnent aux medias sociaux, à l'internet et à la technologie de façon général. Certainement, l'élection 2015 sera aussi marquée par la stratégie libérale de l'utilisation de la technologie pour atteindre les électeurs. Pour la première fois dans l'histoire du Canada, un parti a utilisé des pancartes interactifs. Les électeurs utilisait une application sur les téléphones intelligents pour accéder aux nouveaux éléments de la plate-forme libérale. Le contenu était mis à jour chaque semaine. En plus d'être une grande action de marketing, l'innovation a également eu un impact sur la stratégie du parti, qui avait donc une voie de communication de plus avec les électeurs.
Dans un article publié dans le site de David Berthiaume, candidat du Parti libéral (Mégantic-L'Érable), Pablo Rodriguez, co-président de la campagne au Québec et candidat libéral dans Honoré-Mercier (Montréal), souligne l'importance de la technologie.
« Cette application simple et gratuite permet d’élargir considérablement le nombre de gens qui auront aisément accès à nos propositions de changement, souligne Pablo Rodriguez, co-président de la campagne au Québec et candidat dans Honoré-Mercier (Montréal). C’est une voie de communication supplémentaire que nous offrons, particulièrement aux jeunes, pour échanger sur l’avenir de notre pays.»
La puissance des médias sociaux
Sans aucun doute, le Parti libéral a montré en 2015 que l'utilisation de la technologie et des médias sociaux comme un outil d'approche avec la population fait définitivement partie de sa stratégie. La campagne a gagné en force avec l'utilisation des médias sociaux et les chiffres le prouvent. Mais selon Raphaël Canet, professeur de la Faculté des sciences sociales de L'Úniversité d'Ottawa, l'impact précis de cela dans l'élection 2015 reste à déterminer.
« À la fois, cela accentue des réactions sur plusieurs thèmes, mais sur une campagne plus longue comme on a eue, l'impact va être atténué parce qu'il y a aussi un brouillage de messages», souligne le professeur, dans une interview publiée par le site Internet de Radio-Canada.
Dans un article publié dans le site de David Berthiaume, candidat du Parti libéral (Mégantic-L'Érable), Pablo Rodriguez, co-président de la campagne au Québec et candidat libéral dans Honoré-Mercier (Montréal), souligne l'importance de la technologie.
« Cette application simple et gratuite permet d’élargir considérablement le nombre de gens qui auront aisément accès à nos propositions de changement, souligne Pablo Rodriguez, co-président de la campagne au Québec et candidat dans Honoré-Mercier (Montréal). C’est une voie de communication supplémentaire que nous offrons, particulièrement aux jeunes, pour échanger sur l’avenir de notre pays.»
La puissance des médias sociaux
Sans aucun doute, le Parti libéral a montré en 2015 que l'utilisation de la technologie et des médias sociaux comme un outil d'approche avec la population fait définitivement partie de sa stratégie. La campagne a gagné en force avec l'utilisation des médias sociaux et les chiffres le prouvent. Mais selon Raphaël Canet, professeur de la Faculté des sciences sociales de L'Úniversité d'Ottawa, l'impact précis de cela dans l'élection 2015 reste à déterminer.
« À la fois, cela accentue des réactions sur plusieurs thèmes, mais sur une campagne plus longue comme on a eue, l'impact va être atténué parce qu'il y a aussi un brouillage de messages», souligne le professeur, dans une interview publiée par le site Internet de Radio-Canada.